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Hike |
HIKE, une expérience à vivre
Une tradition, qui n’est pas prête d’être changée, a lieu chaque année au mois de novembre à HELP. Marcher de Furcy à Jacmel durant deux jours, visiter, regarder la situation des zones éloigner de la capitale, apprendre à connaitre des recoins éloigner de notre pays, vivre l’aventure pendant deux jours ; tels sont les objectifs de l’Hike.
Cette année en raison de la situation politique du pays, Hike s’est déroulé le weekend du 1 et 2 Décembre et le parcours fut de Furcy à Seguin ; Seguin à Furcy. Le parcours changé ne changea rien dans la motivation fougueuse des participants. L’ambiance amicale, joviale régnait depuis à Casséus, lieu de départ.
Manger afin d’être en pleine forme pour la route, premier mouvement que les Hikers ont effectué. La route était jeune et déjà chacun a choisi son camp : marcher pour atteindre l’objectif ou prendre du plaisir et profiter de l’aventure. Comme les Helpers vivent en tant que frères et sœurs, venir en aide pour aller à Hike était tout à fait normal ; on découvrait que plus d’un était présent en esprit ou en matériel, alors il fallait les appeler pour en être sûr que l’on ne se trompait pas. Arriver à l’antenne parabolique est l’objectif pour la moitié de la journée. Un groupe veut arriver à temps ; l’autre, immortaliser ce moment place aux selfies et aux photos de groupe et pour mieux gardé l’adrénaline Welele, un slogan, a été créé par les participants. Vu que certaines montagnes ne sont pas aussi sages que d’autres, les hommes se sont portés volontaires pour aider les demoiselles de leurs choix.
Les images qu’ils ont vu leurs ont coupé le souffle, au haut d’une montagne explorant une vue verte d’Haiti ce n’est pas donné à tous. « Les gens d’ici sont bénis d’avoir de l’eau à bout portant, une température aussi basse et une vue aussi merveilleux. Ils connaissent mieux la signification du mot vivre » a partagé un participant. Profité d’être hors de la capitale pour vivre dans la simplicité, prioriser la fraternité était un des ambiances imprévus de cet Hike.
Marcher durant deux jours s’avèrent fatiguant mais une visite pareille et une expérience comme celle-ci n’a pas de prix. Retourner si la chance leur souri telles sont les espérances de certain. Mais par-dessus tout participer au Hike de Help ce n’est pas une question de faire le parcours dans le temps mais de vivre l’extraordinaire en si peu de temps.
Manger afin d’être en pleine forme pour la route, premier mouvement que les Hikers ont effectué. La route était jeune et déjà chacun a choisi son camp : marcher pour atteindre l’objectif ou prendre du plaisir et profiter de l’aventure. Comme les Helpers vivent en tant que frères et sœurs, venir en aide pour aller à Hike était tout à fait normal ; on découvrait que plus d’un était présent en esprit ou en matériel, alors il fallait les appeler pour en être sûr que l’on ne se trompait pas. Arriver à l’antenne parabolique est l’objectif pour la moitié de la journée. Un groupe veut arriver à temps ; l’autre, immortaliser ce moment place aux selfies et aux photos de groupe et pour mieux gardé l’adrénaline Welele, un slogan, a été créé par les participants. Vu que certaines montagnes ne sont pas aussi sages que d’autres, les hommes se sont portés volontaires pour aider les demoiselles de leurs choix.
Les images qu’ils ont vu leurs ont coupé le souffle, au haut d’une montagne explorant une vue verte d’Haiti ce n’est pas donné à tous. « Les gens d’ici sont bénis d’avoir de l’eau à bout portant, une température aussi basse et une vue aussi merveilleux. Ils connaissent mieux la signification du mot vivre » a partagé un participant. Profité d’être hors de la capitale pour vivre dans la simplicité, prioriser la fraternité était un des ambiances imprévus de cet Hike.
Marcher durant deux jours s’avèrent fatiguant mais une visite pareille et une expérience comme celle-ci n’a pas de prix. Retourner si la chance leur souri telles sont les espérances de certain. Mais par-dessus tout participer au Hike de Help ce n’est pas une question de faire le parcours dans le temps mais de vivre l’extraordinaire en si peu de temps.
Agathe Moise
Etudiante en 3e année de communication Sociale
Etudiante en 3e année de communication Sociale
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